La France a le deuxième domaine maritime mondial, une extrême richesse, et à ce titre, devrait prendre grand soin de toutes ses eaux.
Mais les ambassadeurs qui organisent des réceptions avec chocolats à l'huile de palme, préfèrent la compagnie des pétro tyrans poutinistes à celle des baleines...
Pourtant, tous les cétacés sont indispensables à notre vie et à notre survie à travers leurs déjections, qui se font en surface et qui nourrissent le zooplancton.
Celui-ci absorbe 50% du CO2, tout en produisant de l'oxygène et en étant l'aliment de base de toute la chaîne alimentaire marine.
Aussi, tout les États côtiers devraient créer des fermes à zooplancton tout du long de leurs littoraux.
Cela coûterait beaucoup moins cher que de cramer des millions dans des COP inutiles, organisées chez les pays assassins de la biodiversité mondiale, à travers leurs méga émissions de CO2 servant à produire des plastiques.
Cas concret, les lingettes qui obstruent les canalisations des stations d'épuration tout en recrachant leurs microplastiques.
- 1 : Les lingettes devraient être 100% coton.
Et plutôt que des accords au maïs du Mercosur, nous devrions avoir des accords avec des démocraties alliées, sur la libre circulation de coton bio.
Troque sans dollars, contre du champagne et du cognac tout aussi bio.
Je pense que l'Australie peut dessaler au solaire par concentration, pour produire des batteries sodium à la place du lithium, ainsi que de grandes quantités de coton bio et autres en plantant des millions d'arbres salvateurs.
- 2 : Une taxe devrait s'appliquer à l'achat pour financer les surcoûts des stations d'épuration.
C'est extrêmement simple à mettre en place et la hausse du prix des lingettes fera consommer moins de lingettes.
Mais par le plus grand des malheurs, la France à deux États dans l'État, Total et EDF.
Les deux sont compromis avec toutes les crapuleries fanatiques, extrémistes, totalitaristes et terroristes, tout en gouvernant par en dessous à la place du citoyen Gaulois.
Aucun des deux ne veut renoncer à l'argent que le système leur octroie, donc, surtout, il ne faut rien changer.
Pourtant, lin, chanvre, polymères biosourcés, produits sans engrais chimiques, ni pesticides, pourraient remplacer les textiles de l'ameublement et des transports, et permettent la production les plastiques indispensables à 15% de CO2 recyclé que l'on ne peut pas supprimer.
Pour le reste, fer, aluminium, carton, verre, font très bien l'affaire.
Mais pour tout ça, il faut une électricité pas chère, pas celle d'EPR à 123 euros du MWh, hydre à deux têtes et serpent vicieux se mordant la queue.
Alors que les incinérateurs, équipés d'aspirateurs à CO2 pour en faire des Efuels, peuvent produire sans payer les combustibles, dont le ramassage serait financé par une taxe à l'achat, éliminant ainsi tous les plastiques dans une saine économie circulaire nous dispensant de traiter avec des États mafieux, les politiques préfèrent se rouler dans la fange pustulente qui les nourrit et ne surtout rien changer au système.
Des inaptes, incapables d'assurer leur fonction et de faire le job, eux aussi ont devrait les recycler, mais je ne sais pas à quoi ils pourraient bien être utiles ?
Le Figaro - à lire : «Biodégradable, ça ne veut rien dire» : l’impact désastreux des lingettes sur les réseaux d’eau en France https://t.co/RDnGF2OY8Z
— TheWitcherParks.com (@Mtaverse1) August 5, 2025
La pollution plastique représente une menace "grave et croissante" pour la santé, alertent des scientifiques https://t.co/gaaKqVk4t9 via @franceinfo
— TheWitcherParks.com (@Mtaverse1) August 5, 2025
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